Le sponsoring sportif féminin est en constante évolution depuis quelques années, tout comme le succès des championnats et performances qui sont de plus en plus médiatisés et de plus en plus suivis par le public. Pourquoi votre entreprise ne s’y mettrai pas à son tour ? Nous vous donnons 3 raisons pour vous y mettre !
Plus accessible que les hommes
Même si le sport féminin gagne peu à peu en visibilité, le sponsoring sportif féminin reste plus accessible financièrement, ce qui engendre donc un retour sur investissement plus intéressant pour vous. De plus, ce sponsoring est moins risqué que le masculin, sous l’angles des nombreux scandales qui ont touché le sport masculin (affaires de viol, chantage, tromperie avec escort girl etc…). Aujourd’hui, 80% du sponsoring sportif est masculin, donc non seulement le sponsoring sportif féminin est plus intéressant, mais en plus il permettra à votre entreprise de se démarquer des autres ! Cela vous permettra aussi de toucher une cible plus large. Prenons l’exemple de Swatch, avec la compétition de surf Swatch Women’s Pro, la marque arrive à cibler des femmes sportives plus jeunes que leur clientèle habituelle.
Plus de taux d’engagement
Les ambassadrices de sports féminins sont plus accessibles et permettent de toucher une cible plus familiale. Les ambassadrices sont disponibles, et elles savent qu’elles sont un modèle pour d’autres femmes, en leur montrant qu’elles peuvent pratiquer le sport qu’elles veulent sans se laisser dicter par des stéréotypes et que chacune peut être douée, et aussi légitime qu’un homme dans n’importe quel sport.
Vous donnez une image d’entreprise moderne
En devenant sponsor pour un club ou une équipe féminine, vous donnez l’image d’une entreprise moderne, tournée vers le futur et qui veut contribuer à l’égalité des sexes, dans le sport mais aussi de manière plus générale. Avec un tel sponsoring votre entreprise défendrait des valeurs qui parlent à beaucoup de monde et qui font parti des problématiques actuelles de notre société.
Photo du Genève Volley par Christian Lafargue www.claps.ch